En suivant la température de l'eau stockée, nous sommes capables de déterminer le volume d'eau stagnante (que nous déduisons par le nombre de puisages).
Grâce à ces deux données : la température de l’eau et le volume d'eau stagnante, nous sommes capables d’évaluer le risque de développement de la légionellose.
Dès que le risque dépasse un certain niveau, nous effectuons un choc thermique préventif, 60 minutes à 60°C comme le recommande le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) dans le guide technique “Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d’eau chaude sanitaire”.
En pratique nous effectuons un choc thermique préventif une fois toutes les deux semaines.
Tableau comparatif sur la destruction des légionelles selon les temps d’exposition et de la température de l’eau, issu du guide technique du CSTB